- | Si l’on trempe successivement les blocs de cuivre et le solide inconnu dans un liquide bouillant vers 80 °C, on double l’apport d’énergie.<br>L’incertitude liée à la mesure des températures s’amenuise de moitié.<br>En même temps, l’incertitude sur la mesure de la valeur en eau du calorimètre, voir plus haut, diminue à 1,0 %.<br>Ce document est destiné aux étudiants du programme de sciences de la nature du collège Montmorency.<br>Il porte sur l’art de calculer et de bien exprimer les incertitudes absolues accompagnant une donnée ou un résultat.<br>Tous les physiciens, y compris les débutants du lycée, sont donc amenés à manipuler des grandeurs numériques, résultats de mesures de grandeurs physiques.<br>Ils sont aussi amenés à effectuer des calculs divers sur ces grandeurs et à présenter les résultats de ces calculs.<br>Dans certains cas, il peut être intéressant de comparer deux résultats expérimentaux obtenus par des méthodes expérimentales différentes.<br>L’incertitude principale vient donc de la mesure de la dénivellation puisqu’elle compte pour plus de 80 % de l’incertitude relative totale.<br>Grande incertitude, ainsi que l’incertitude expérimentale finale.<br>On recommence les calculs similaires à ceux précédemment réalisés.<br>On voit que la quantité d’énergie à fournir pour chauffer l’eau de 100 à 120 ºC représente 60 % de l’énergie totale.<br>Une mesure est dite « exacte » si elle correspond à la valeur de référence.<br>On entend par valeur réelle une valeur prédite par la théorie ou une valeur de référence.<br>{On ne retient que le cas défavorable où toutes les incertitudes relatives s’ajoutent.<br>Est la tension superficielle, h, la hauteur de liquide dans le capillaire, [https://sepmetrologie.com/en/gescal-pro-calibration-management/ https://sepmetrologie.com/en/gescal-pro-calibration-management/] d2et d1 les masses volumiques respectives du liquide et de l’air, g l’accélération de la pesanteur et r le rayon du capillaire.<br>Le résultat numérique est donc entaché d’une incertitude relative de 0,2 %.|La mesure de TYPE B est une mesure qui est évaluée par d’autres méthodes.<br>Il est basé sur des travaux de laboratoire, où toutes les informations pertinentes sont disponibles, ce qui peut inclure des mesures antérieures, l’expérience, la connaissance du comportement et plus encore.<br>En d’autres termes, une erreur est la différence entre une valeur mesurée et la valeur réelle et conventionnelle de l’objet mesuré.<br>Et les formes primitives de mesure ont non seulement conservé cette caractéristique empirique, mais ont évolué pour devenir des systèmes fonctionnels.<br>Il faut faire attention de pas confondre les concepts d’exactitude et de reproductibilité malgré la grande similarité des équations permettant de les vérifier.
| + | {Qualité d'une observation faite avec une grande attention ou avec un instrument de qualité.<br>Vous trouvez la valeur minimale que peut prendre le résultat du calcul.<br>Vous trouvez la valeur maximale que peut prendre le résultat du calcul.<br>Vous additionnez les incertitudes relatives pour les produits et les quotients.<br>Une mesure est exacte si elle est en accord avec la vraie valeur.<br>La mesure de masse avec une balance ayant une graduation imprécise.|De plus, [https://sepmetrologie.com/contact/ https://sepmetrologie.com/contact/] afin de minimiser la part du hasard dans l’évaluation de l’exactitude d’un résultat, il faut, [https://Sepmetrologie.com/services/ sepmetrologie.Com] de prime abord, vérifier la reproductibilité de la série de mesures.<br>Une série de mesures qualifiée de non- reproductible mènera directement à l’obtention d’un résultat inexact.<br>Dans le cas d’une série de mesures dites reproductibles, il faut ensuite vérifier l’exactitude du résultat obtenu afin de pouvoir tirer une conclusion.<br>Le résultat d’un calcul impliquant des données expérimentales comporte également une incertitude absolue.<br>Cette incertitude absolue est déterminée par la nature des opérations mathématiques effectuées lors du calcul.<br>1. |